Mouais… Je suis certain que plus de la moitié des petits voyeurs que vous êtes se sont précipités sur cette page en premier. Au fait, j'espère que vous avez remarqué le fond d'écran. Glauque à souhait, n'est-il pas?

Bien, passons aux choses sérieuses. Je vais vous raconter une histoire.

Dans les années cinquante, au Japon, il y avait un jeune prêtre assez laid, qui travaillait au temple kinkakuji, le pavillon d'or, l'un des plus beaux, si ce n'est le plus beau temple du pays. Ce jeune homme haïssait la beauté du temple et il l'incendia. Le célèbre romancier japonais Yukio Mishima en fit d'ailleurs le thème de son roman, Le pavillon d'or.

Tout ceci pour vous dire que le Vilain Bonhomme, comme il se doit, déteste la beauté. Mais plutôt que de la détruire, en personnage raffiné et fin lettré qu'il est (Aïe! Mes chevilles!) il a décidé de la soumettre à la question. Le résultat est pour le moins… étrange, fascinant.

Au fait, saviez-vous que ce fameux Mishima est LE traducteur du marquis de Sade au Japon? Et le lecteur de s'exclamer: "Diantre, il a bien choisi son exemple, le bougre!"

Qui sont les victimes? Des personnes assez folles pour laisser traîner leur photo sur la toile. Et parmi les centaines de millions de pages aujourd'hui accessibles, le choix est vaste!. Non, vous ne les reconnaîtrez pas. Ce sont des anonymes promis à l'indifférence la plus totale. Heureusement, grâce à votre serviteur, leur situation ne va pas tarder à changer!

Je préfère vous laisser juge de mes caprices:



Première victime



           

Tout cela est fort bien, mais il ne faut jamais succomber au plaisir bestial. Nous sommes humains après tout. Que cela nous permette au moins de mettre en valeur quelque aspect culturel de notre belle société. Il me revient justement à l'esprit une chansonnette d'il y a bien longtemps, sans doute plus d'une cinquantaine d'années. Les paroles étaient:


Ah, la belle époque que celle de la génération des Fernandel et autres chanteurs du même acabit! Et les tempes grisonnantes, les vieux sages d'aujourd'hui de vilipender les jeunes générations: "Ah, la musique des jeunes d'aujourd'hui! De mon temps…"



Deuxième victime



                 

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